05 avril 2022

débuter et progresser en running

Eviter les points de coté : Courir sans point de côté

Compagnon indésirable et inattendu des sportifs, le point de côté gâche souvent le plaisir et annihile les efforts accomplis. Qu’est-ce qui le déclenche ? Comment l’éviter ? Comment s’en débarrasser quand il survient en plein milieu d’une séance de running?

 1  Point faible des sportifs
 2  Qu’est-ce qui déclenche un point de côté ?
 3  Comment éviter les points de côté ?
 4  Comment l’évacuer ?

1- Point faible des sportifs

Tous les sportifs ont déjà été confrontés au point de côté au cours de l’exercice physique. Qu’ils pratiquent la course à pied, le cyclisme ou la natation, ils doivent souvent faire face à ce mal imprévu. Sans gravité dans la plupart des cas, la douleur ressentie met cependant un sérieux coup de frein à l’effort surtout au niveau de la course à pied. Les points de côté se ressentent au niveau des clavicules, des côtes, des intestins ou de l’estomac. Si le coureur n’arrive pas à l’éviter, ou du moins à l’évacuer rapidement, le point de côté peut devenir un véritable cauchemar et constituer son point faible.

2- Qu’est-ce qui déclenche un point de côté ?

Les études menées jusqu’à présent n’arrivent pas à déterminer les causes exactes de l’apparition des points de côté. Cependant, la perturbation de la mécanique respiratoire du diaphragme due à l’engorgement par le sang du foie ou de la rate, ferait apparaître la douleur au niveau des clavicules ou des côtes.

La sollicitation trop intense du diaphragme lors du jogging provoquerait également le point de côté. Si la douleur est ressentie au niveau des intestins, ce serait lié à un manque de sang au niveau du tube digestif consécutivement à l’effort. Il peut également survenir au niveau de l’estomac qui dans ce cas n’aurait pas encore fini de digérer, ce qui provoque le point de côté.

Par ailleurs, certaines pistes ont révélé l’existence d’un lien étroit entre le manque d’entrainement d’une part et une alimentation inadéquate d’autre part pour expliquer l’apparition des points de côté.

Une séance de running sans échauffement préalable ou à une vitesse trop excessive dès le départ provoquerait à coup sûr un point de côté. De même, une alimentation riche en lipides et en fibres favoriserait l’apparition de cette douleur.

3- Comment éviter les points de côté ?

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23 mars 2022

menu petit dejeuner marathon

Qu’est ce que vous devez manger avant le marathon ?

Vous avez prévu de vous engager dans un marathon ou vous êtes en pleine préparation marathon.

Comme vous le savez peut-être, c’est une course extrêmement difficile qui demande une grande rigueur au niveau de la préparation et de l’alimentation.

Ainsi, avant le grand départ, prendre un petit déjeuner sain qui ne sera pas trop copieux est au moins aussi important que la phase d’entraînement. Il est important d’en être bien conscient.

Ce petit déjeuner matinal sera votre tout dernier repas avant votre grand départ (Vous avez peut-être suivi une alimentation spéciale pendant la semaine avant votre marathon).

Il est donc important de bien recharger vos batteries.

Mais attention, il est également important de ne pas passer en mode surcharge ou ce sera l’abandon assuré dès les premières minutes de courses.

Tout d’abord, il est primordial de respecter la règle dite des trois heures.

L’effort physique et la digestion sont deux éléments qui ne font vraiment pas bon ménage. Pendant la course, si vous avez mangé trop peu de temps avant le départ, la circulation sanguine musculaire liée à votre activité corporelle va interférer avec celle liée à la digestion de votre repas.

De plus, une sécrétion d’insuline et un ralentissement de la production de glucagon peuvent être observés pendant la phase de digestion. Alors que pendant l’effort, le phénomène est totalement inverse.

Bref, il semblerait que ces deux là ne puissent vraiment pas s’accorder.

Ainsi, si le petit déjeuner est pris trop tard dans la matinée, vous vous risquez à énormément d’effets secondaires qui peuvent s’avérer extrêmement désagréables en pleine course.

Baisse de la tonicité, épuisement précoce, spasmes, vomissements, essoufflement ou tachycardie ne sont quelques exemples non exhaustifs.

Prendre votre repas au moins trois heures avant la course semble être le meilleur moyen pour éviter ce genre de désagréments.

Ainsi, quand vous serez arrivé au moment fatidique où vous devez prendre votre petit déjeuner, il va sans dire qu’il faudra éviter les croissants et autres aliments trop pesants.

S’il est important que votre repas soit complet, il ne doit néanmoins pas être trop lourd.
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08 mars 2022

Eviter les blessures running

Comment éviter les blessures en course à pied : nos 10 conseils

Certaines personnes sont réticentes à se mettre à la course à cause de la douleur que cela peut engendrer. Effectivement, même si le running possède de nombreuses vertus, certains coureurs peuvent souffrir.

Les douleurs surviennent généralement après l’entraînement.

On remarque différentes blessures qui peuvent survenir chez des personnes faisant du running telles que les blessures musculaires, les contractures, les élongations et bien d’autres. On ne peut pas passer non plus à côté des traditionnelles ampoules.

Toutefois, il existe quelques petites astuces à connaître afin de prévenir certaines douleurs et donc arrêter de se chercher des excuses pour ne pas se mettre au running. Pour vous aider, voici 10 conseils pour éviter ces petits bobos.

1 – Ne négligez pas l’échauffement

Si vous commencez votre séance de running sans vous échauffer, cela pourra entraîner des courbatures qui vous donneront l’envie d’arrêter de courir à tout jamais. Alors, même si cela prend un peu plus de temps que vous ne l’aviez prévu, ne faites pas l’impasse sur l’échauffement.Veillez également à ne pas vous étirer trop profondément.

Pour vous échauffer de façon optimale, commencer vos séances Jiwok a un allure très tranquille pendant une dizaine de minutes. Cela vous permettra notamment d’éviter les élongations, les claquages et les entorses.

2 – N’oubliez pas les étirements

Lorsque vous avez fini votre séance d’entrainement, il est primordial de faire une petite séance de « retour au calme » et d’étirements. Au même titre que l’échauffement, si vous faites l’impasse dessus, vous risquez de ressentir de vilaines courbatures. Comptez au minimum une dizaine de minutes pour vos étirements afin qu’ils soient efficaces.

3 – Restez hydraté

Même si votre échauffement vous protège des courbatures, il ne le fera pas contre les crampes. Ces dernières peuvent être vraiment handicapantes pour un sportif et peuvent toucher tout le monde. Que vous soyez un coureur débutant ou aguerri, il faut impérativement que vous restiez hydraté afin des les éviter.
Si vous ne buvez pas assez, il n’y aura pas un échange optimal entre vos muscles et votre cerveau et vous le ressentirez. Pendant votre séance, buvez régulièrement. N’oubliez de prendre une réserve d’eau avec vous si votre séance, car à force de transpirer vous allez vous déshydrater.
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25 janvier 2022

alcool running sport course a pied

Pourquoi l’alcool est mauvais pour le coureur et les sportif ?

Quand je dis « boire ou courir », je parle évidemment d’alcool et non pas d’hydratation pendant après vos séances d’entrainement.

Le sport et l’alcool ne font pas bon ménage lorsqu’il s’agit de pratiquer un entrainement ou une compétition.

Bien rares sont ceux qui penseraient à suivre une séance de running (ou de fitness) soûl.

Mais on pense moins au fait que la consommation d’alcool, à table ou de façon plus festive, est mauvaise pour la pratique du sport sur le moyen et long terme.

Mais puisqu’il reste bien difficile de se priver d’une bonne bouteille ou d’une occasion de faire la fête, voyons un peu comment se ménager au préparer pour aller courir dans de bonnes conditions.

 1   ✅ La réhydratation
 2 Le choix des alcools
 3 Le choix de l’abstinence
 4 Une consommation responsable
 5 L’alcool n’est pas bon pour l’ossature
 6 Gérer son sommeil


1-La réhydratation

L’alcool déshydrate, c’est bien connu. Les habitués des soirées vous diront même qu’il faut alterner un verre d’eau ou de soda avec un verre d’alcool. En effet, la déshydratation se fait sentir dès l’absorption d’un alcool supérieur à 4°.

Dès lors, il convient de récupérer de sa déshydratation lors d’une séance de course à pied avant même d’entamer une soirée ou un repas où le vin sera servi.

Ainsi, en remettant son corps d’aplomb, on sentira moins les effets de la déshydratation causée par l’alcool.

Il reste aussi conseillé de bien boire de l’eau entre chaque verre d’alcool de façon à limiter en cours de soirée la déshydratation.

2-Le choix des alcools

Même si sans alcool la fête est plus folle, on aime bien boire un verre de temps en temps. Il y a justement quelques petites choses à savoir concernant le choix de ses alcools. En deçà de 4° d’alcool dans le liquide, les effets de la déshydratation ne se font pas sentir.
C’est vrai que le choix se limite au cidre qui est un choix moyen en raison du taux de sucre.

Au delà de ce taux, plus il y a d’alcool, plus la soif se fait sentir. En conséquence, surtout pendant une période de sport intense, il faut se militer aux alcools les moins violents et préférer une bière légère à une bouteille de vin.

3-Le choix de l’abstinence

L’abstinence en terme d’alcool concernant les grands sportifs n’est en rien un secret. Mais elle doit concerner aussi ceux qui se trouvent dans une grosse phase d’entrainement ou qui sont en période de compétition. En effet, l’alcool ralentit le processus de récupération musculaire. Or, en période intensive, cette récupération est primordiale pour être en bonne condition.

L’alcool ne fait donc pas bon ménage avec le sport intense et d’autant plus la course à pied. L’alcool est mauvais aussi pour les tendons qui sont placés d’emblée dans un état pro-inflammatoire. En somme, le moindre petit écart de sollicitation de vos tendons peut entraîner tendinites et blessures à cause de la présence d’alcool.

4- Une consommation responsable

Naturellement, personne n’incite à la consommation d’alcool. Elle est toutefois assez inévitable. Si on sait qu’une période intense de sport ou de running est peu compatible avec l’alcool, il convient donc de programmer ses soirées en fonction de son entrainement.

Si vous savez que vous avez dans l’année, admettons durant les fêtes de fin d’année, une période plus légère en sport, c’est l’occasion de moins culpabiliser sur votre consommation d’une bonne bouteille de vin. Celle ci aura moins d’impact sur votre organisme que de jongler entre aller courir et les soirées entre amis.
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23 novembre 2021

Le bon équipement pour bien préparer son Trail

Récemment, je vous ai présenté les plans d’entrainement Trail de nos coach Jiwok. il est maintenant l’heure de vous donner des conseils concernant l’équipement adapté à votre course de trail.

Je vous rappelle que contrairement aux courses sur route (10 km, semi marathon, marathon), le trail se déroule en pleine nature.

Ainsi courir en plein nature et souvent aussi en montagne impose une équipement (presque) complètement différent du running.

Le trail est une activité sportive qui peut être considérée comme une épreuve de course à pied s’exerçant en auto-suffisance et sur tout type de terrain.

Le trail se décline en plusieurs sous-catégories telles que :

  • Le trail court, dont la distance s’étend de 20 à 40 kilomètres,
  • Le trail long, qui peut impliquer une distance se situant entre 40 et 80 kilomètres,
  • Et l’ultra-trail, dont la distance peut aller de 130 à 160 kilomètres !

Comme vous le savez peut-être, la trail se distingue des épreuves de course à pied (10 km, semi marathon, marathon), entre autres, par le fait qu’il se pratique en pleine nature.

En effet, si vous êtes néophyte en ce qui concerne le trail, vous risquerez d’être dérouté par le fait que vous ne trouverez ni indications kilométriques, ni ravitaillements réguliers.

Afin de pratiquer le trail particulièrement physique dans les meilleures conditions possibles, il va de soi que vous devez pouvoir gérer efficacement le couple effort-alimentation et avoir suivi un entrainement trail, certes, mais un équipement trail complet demeure également primordial.

Tout d’abord, vous procurer une tenue technique et adaptée sera des plus importants.

Vous consacrerez cette tenue aussi bien à l’entrainement trail qu’à la course.

 1  Le bon t-shirt
 2  Les chaussettes adaptées
 3  Les chaussures qui ne feront pas mal aux pieds
 4  Le slip ou la culotte adapté
 5  Le camelbak
 6  Bien manger
 7  La lumière
 8  La protection de votre tête

1- Un t-shirt respirant

Il est indispensable de vous procurer un t-shirt en matière « respirante » et qui sèche rapidement, offrant ainsi une évacuation de l’humidité et de la respiration, le coton est donc à proscrire.

Optez si possible pour un modèle pourvu d’un col qui protégera votre cou, et de poches latérales dans lesquelles vous pourrez ranger vos accessoires.

Ces règles s’appliquent également au bas de votre tenue : évitez le coton, privilégiez la technique et l’ergonomie.

Par temps froid, vous devriez préférer un collant, mais un short devrait, en général, faire l’affaire.

2- Les chaussettes sont vraiment importantes

Notez qu’un soin tout particulier se doit notamment d’être apporté au choix des chaussettes.

Les chaussettes en laine tout comme les chaussettes synthétiques sont à bannir. En contrepartie, le coton est ici à privilégier.

3- Les bonnes chaussures de trail

Par ailleurs, vous devez sélectionner des chaussures adaptées à la pratique du trail (les semelles sont plus épaisses que celles de la course à pied afin en autre de procurer un amorti adapté au terrain escarpé).

4- Les sous-vêtements

Enfin, pour ce qui est du slip et des sous-vêtements en général, évitez une fois de plus le coton qui a tendance à absorber la transpiration.

Vous savez désormais quel type de tenue il faut adopter pour entamer un tel effort physique.

Mais bien évidemment, le trail étant une activité d’autonomie en milieu naturel, votre sacs et autres pochettes demandera également d’être choisi avec le plus grand soin.
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13 octobre 2021

courir dans le froid

Allez hop, les témoignages de la semaine des Jiwokeurs qui devraient vous donner la motivation nécessaire pour enfiler vos baskets.

Bonne lecture :

Huguette
« J’ai commencé aujourd’hui, suis enchantée du coach, c’est très motivant. On pourrait croire parfois qu’il court à coté de vous. »
(Huguette suit un programme débuter le running)

Boris
« Top défoulage ! J’adore retrouver mon elliptique avec mon coach ! Je suis complètement accros à mes 2 séances par semaine. C’est grave docteur ? 🙂 »
(Boris suit un entrainement rester en forme en elliptique)

Patou
« Je m’étais inscrite à un programme pour réussir a courir 30 minutes, sans trop y croire…. Yes i can !! J’y retourne avec ce challenge des 10km en 60 minutes, est ce bien raisonnable ? Les longueurs holala……. dur dur….. vivement demain !!! »
(Patou a suivi un entrainement courir 30 minutes et maintenant il suit un entrainement 10 km)

Laurent
« Après mon dernier semi, je voulais améliorer ma vitesse pendant quelques semaines. J’ai donc suivi votre entrainement courir plus vite, et je dois dire que cela porte ses fruits. Je cours effectivement plus vite et surtout en endurance, je suis à l’aise à une vitesse plus élevée. Les séances de fractionné ont bien été bénéfique. Je vais sûrement enchaîner avec une préparation 10 km. Encore merci. »
(Laurent a suivi un entrainement courir plus vite (améliorer sa vma))

Emmanuelle
« Je n’avais plus fait de sport depuis longtemps, et j’avais vraiment envie de m’y remettre surtout après les kilos pris après mes grossesses.
J’ai donc suivi l’entrainement perdre du poids en course à pied et j’ai apprécié.
Au départ, j’ai eu un peu de mal à m’y mettre, mais petit à petit j’ai pris le rythme et j’ai pris du plaisir.
Alors toutes les séances n’ont pas été simple, mais je me suis accrochée et j’ai réussi en fin de compte à courir 1 heure en continue et perdre 8 kilos.
Je suis assez fière de moi. Je sais maintenant que je suis capable de le faire et je vais continuer. »
(Emmanuelle a suivi un entrainement perdre de poids en courant)

Et vous, cela donne quoi votre entrainement Jiwok ?


27 septembre 2021

bain froid pied running
(crédit photo : Kevin Saff )

Guide des bains glacés à l’usage des coureurs (running) : Nos conseils pour réaliser vos bains glacés pendant votre entrainement de running afin d’optimiser vos performances et vos résultats de course : marathon, semi, trail, triathlon.

L’utilité des bains glacés est sujette à débat mais il est possible de trouver un compromis.

Les œufs sont bons pour vous. Les œufs sont mauvais pour vous. Les œufs sont bons pour vous…

Si vous avez un certain âge, comme moi, vous avez l’habitude des avis contradictoire sur à peu près tout ; de la nutrition aux étirements en passant par le volume et l’intensité de l’effort.

Il en va de même avec les bains glacés.

Il existe tellement d’études contradictoires qu’il devient difficile de s’y retrouver.

D’une part, les entraîneurs comme les coureurs utilisent les bains glacés avec succès depuis des années.

Selon eux, l’eau glacée aide les jambes, et les esprits, fatigués ; les séances suivantes sont donc de meilleure qualité.

Des séances de running de meilleure qualité (et la confiance accrue qui en découle) conduisent généralement à de meilleures performances.

D’un autre côté, les professionnels de santé relèvent que l’inflammation consécutive à l’effort (la légère douleur accompagnée de la raideur des jambes) stimule l’adaptation de l’organisme à l’effort.

En coupant court à cette inflammation avec un bain glacé, vous empêchez le corps de s’adapter à cette sollicitation sur la durée.

Nous voici donc coincés dans la spirale de vouloir un peu de confort dans l’entraînement tout en souhaitant en retirer le plus de bénéfices.

La meilleure que je recommande est d’utiliser les bains glacés par période, de la même manière que les coachs Jiwok construisent vos plans marathon, semi-marathon, 10 km, trail, ultra trail ou triathlon.

Voici comment :

Pour retirer le maximum d’adaptation au stress physiologique, il faut limiter les bains glacés pendant la partie initiale du plan d’entraînement.

Il ne faut y avoir recours que lorsque le corps est suffisamment affecté et que les séances diminuent en qualité.

Pas uniquement après un effort intense mais plusieurs jours d’affilés.

À l’approche de la course, vous pouvez utiliser les bains glacés plus souvent pour rafraîchir vos jambes et vous redonner un peu d’entrain.

À un mois de la course, vous devez vous sentir à l’aise à chaque séance d’entrainement.

Ceci permet de construire la confiance en soi qui, à ce stade du plan d’entrainement, est bien plus importante que toute diminution de la capacité d’adaptation qui a déjà été travaillée en profondeur dans les semaines précédentes.

J’aime vraiment cette conception qui semble allier le meilleur des deux mondes.

Les premiers temps de l’entraînement s’accompagnent de la douleur et de la fatigue mais permettent de créer la résistance à l’effort maximale.

Lorsque la qualité de vos séances d’entraînement diminue plusieurs jours d’affilés, vous prenez des bains glacés.

À l’approche de la course, vous devez vous préoccuper de votre bien-être pour être le plus frais et reposé possible pour le jour de votre course.

Durant cette période, les bains glacés suivent la plupart des séances intenses pour garder de la fraîcheur dans les jambes.

De mon point de vue, c’est du gagnant-gagnant et concilie facilement les deux aspects de la discussion sur les bains glacés.
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About the author

Denis Dhekaier est le co-fondateur de Jiwok, spécialiste du coaching en running, course à pied, vélo d'appartement, vélo elliptique, tapis de course, de marche, natation. Find me on Google+

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