23 janvier 2024

alcool running sport course a pied

Pourquoi l’alcool est mauvais pour le coureur et les sportif ?

Si vous vous êtes lancer dans  le défi « Janvier Sec » (Dry January dans la langue de Shakespeare)  qui consiste à s’abstenir de toute consommation d’alcool durant le mois de janvier,  alors je vous conseille la lecture cet article à partir de février.

Quand je dis « boire ou courir », je parle évidemment d’alcool et non pas d’hydratation pendant après vos séances d’entrainement.

Le sport et l’alcool ne font pas bon ménage lorsqu’il s’agit de pratiquer un entrainement ou une compétition.

Bien rares sont ceux qui penseraient à suivre une séance de running (ou de fitness) soûl.

Mais on pense moins au fait que la consommation d’alcool, à table ou de façon plus festive, est mauvaise pour la pratique du sport sur le moyen et long terme.

Mais puisqu’il reste bien difficile de se priver d’une bonne bouteille ou d’une occasion de faire la fête, voyons un peu comment se ménager au préparer pour aller courir dans de bonnes conditions.

 1   ✅ La réhydratation
 2 Le choix des alcools
 3 Le choix de l’abstinence
 4 Une consommation responsable
 5 L’alcool n’est pas bon pour l’ossature
 6 Gérer son sommeil


1-La réhydratation

L’alcool déshydrate, c’est bien connu. Les habitués des soirées vous diront même qu’il faut alterner un verre d’eau ou de soda avec un verre d’alcool. En effet, la déshydratation se fait sentir dès l’absorption d’un alcool supérieur à 4°.

Dès lors, il convient de récupérer de sa déshydratation lors d’une séance de course à pied avant même d’entamer une soirée ou un repas où le vin sera servi.

Ainsi, en remettant son corps d’aplomb, on sentira moins les effets de la déshydratation causée par l’alcool.

Il reste aussi conseillé de bien boire de l’eau entre chaque verre d’alcool de façon à limiter en cours de soirée la déshydratation.

2-Le choix des alcools

Même si sans alcool la fête est plus folle, on aime bien boire un verre de temps en temps. Il y a justement quelques petites choses à savoir concernant le choix de ses alcools. En deçà de 4° d’alcool dans le liquide, les effets de la déshydratation ne se font pas sentir.
C’est vrai que le choix se limite au cidre qui est un choix moyen en raison du taux de sucre.

Au delà de ce taux, plus il y a d’alcool, plus la soif se fait sentir. En conséquence, surtout pendant une période de sport intense, il faut se militer aux alcools les moins violents et préférer une bière légère à une bouteille de vin.

3-Le choix de l’abstinence

L’abstinence en terme d’alcool concernant les grands sportifs n’est en rien un secret. Mais elle doit concerner aussi ceux qui se trouvent dans une grosse phase d’entrainement ou qui sont en période de compétition. En effet, l’alcool ralentit le processus de récupération musculaire. Or, en période intensive, cette récupération est primordiale pour être en bonne condition.

L’alcool ne fait donc pas bon ménage avec le sport intense et d’autant plus la course à pied. L’alcool est mauvais aussi pour les tendons qui sont placés d’emblée dans un état pro-inflammatoire. En somme, le moindre petit écart de sollicitation de vos tendons peut entraîner tendinites et blessures à cause de la présence d’alcool.

4- Une consommation responsable

Naturellement, personne n’incite à la consommation d’alcool. Elle est toutefois assez inévitable. Si on sait qu’une période intense de sport ou de running est peu compatible avec l’alcool, il convient donc de programmer ses soirées en fonction de son entrainement.

Si vous savez que vous avez dans l’année, admettons durant les fêtes de fin d’année, une période plus légère en sport, c’est l’occasion de moins culpabiliser sur votre consommation d’une bonne bouteille de vin. Celle ci aura moins d’impact sur votre organisme que de jongler entre aller courir et les soirées entre amis.
Lire la suite »


27 novembre 2023

Le bon équipement pour bien préparer son Trail

Récemment, je vous ai présenté les plans d’entrainement Trail de nos coach Jiwok. il est maintenant l’heure de vous donner des conseils concernant l’équipement adapté à votre course de trail.

Je vous rappelle que contrairement aux courses sur route (10 km, semi marathon, marathon), le trail se déroule en pleine nature.

Ainsi courir en plein nature et souvent aussi en montagne impose une équipement (presque) complètement différent du running.

Le trail est une activité sportive qui peut être considérée comme une épreuve de course à pied s’exerçant en auto-suffisance et sur tout type de terrain.

Le trail se décline en plusieurs sous-catégories telles que :

  • Le trail court, dont la distance s’étend de 20 à 40 kilomètres,
  • Le trail long, qui peut impliquer une distance se situant entre 40 et 80 kilomètres,
  • Et l’ultra-trail, dont la distance peut aller de 130 à 160 kilomètres !

Comme vous le savez peut-être, la trail se distingue des épreuves de course à pied (10 km, semi marathon, marathon), entre autres, par le fait qu’il se pratique en pleine nature.

En effet, si vous êtes néophyte en ce qui concerne le trail, vous risquerez d’être dérouté par le fait que vous ne trouverez ni indications kilométriques, ni ravitaillements réguliers.

Afin de pratiquer le trail particulièrement physique dans les meilleures conditions possibles, il va de soi que vous devez pouvoir gérer efficacement le couple effort-alimentation et avoir suivi un entrainement trail, certes, mais un équipement trail complet demeure également primordial.

Tout d’abord, vous procurer une tenue technique et adaptée sera des plus importants.

Vous consacrerez cette tenue aussi bien à l’entrainement trail qu’à la course.

 1  Le bon t-shirt
 2  Les chaussettes adaptées
 3  Les chaussures qui ne feront pas mal aux pieds
 4  Le slip ou la culotte adapté
 5  Le camelbak
 6  Bien manger
 7  La lumière
 8  La protection de votre tête

1- Un t-shirt respirant

Il est indispensable de vous procurer un t-shirt en matière « respirante » et qui sèche rapidement, offrant ainsi une évacuation de l’humidité et de la respiration, le coton est donc à proscrire.

Optez si possible pour un modèle pourvu d’un col qui protégera votre cou, et de poches latérales dans lesquelles vous pourrez ranger vos accessoires.

Ces règles s’appliquent également au bas de votre tenue : évitez le coton, privilégiez la technique et l’ergonomie.

Par temps froid, vous devriez préférer un collant, mais un short devrait, en général, faire l’affaire.

2- Les chaussettes sont vraiment importantes

Notez qu’un soin tout particulier se doit notamment d’être apporté au choix des chaussettes.

Les chaussettes en laine tout comme les chaussettes synthétiques sont à bannir. En contrepartie, le coton est ici à privilégier.

3- Les bonnes chaussures de trail

Par ailleurs, vous devez sélectionner des chaussures adaptées à la pratique du trail (les semelles sont plus épaisses que celles de la course à pied afin en autre de procurer un amorti adapté au terrain escarpé).

4- Les sous-vêtements

Enfin, pour ce qui est du slip et des sous-vêtements en général, évitez une fois de plus le coton qui a tendance à absorber la transpiration.

Vous savez désormais quel type de tenue il faut adopter pour entamer un tel effort physique.

Mais bien évidemment, le trail étant une activité d’autonomie en milieu naturel, votre sacs et autres pochettes demandera également d’être choisi avec le plus grand soin.
Lire la suite »


14 novembre 2023

perdre du poids en courant

Comme en ce moment, la pluie c’est le quotidien du runner, voici mes conseils pour continuer à prendre du plaisir malgré la pluie.

6 Conseils pour courir sous la pluie : Pour que courir quand il pleut devienne un plaisir

Comme nous vivons pas dans un pays avec 360 jours ensoleillement (hélas et vu ce qui est tombé dernièrement !!!), je suis obligé de vous donner des conseils pour courir sous la pluie….

Vous avez commencé votre entrainement de running (ou vous êtes en plein de dedans) mais les jours de pluie s’accumulent.

Il serait dommage de perdre tous les bénéfices de votre entraînement en stoppant votre entrainement de running à cause de la pluie !

En suivant quelques précautions, vous verrez que courir sous pluie n’est pas si désagréable qu’il n’y paraît.

Ce sont les premiers mètres qui vous paraîtront les plus durs. Ensuite, une fois habitué à la pluie, elle ne vous gênera même plus.

Pour un jogging sous la pluie réussi, il faut néanmoins suivre quelques conseils.

1

Vêtement pour courir sous la pluie

2 Une casquette
3 Une vieille paire de chaussure
4 Un gilet fluo ou un brassard
5 Un brassard de téléphone étanche
6 On se déshabille rapidement

1- Comment s’habiller pour courir sous la pluie ?

Si en plus de pleuvoir il fait froid, mettez une couche supplémentaire.
Pour courir sous la pluie, l’idéal est de porter des vêtements de running technique éliminant la sueur et l’eau due à la pluie ainsi qu’un coupe vent dont la matière vous permettra d’être mouillé moins vite.

Aller courir sous le vent et la pluie sera plus facile.

Ne vous couvrez cependant pas trop en pensant être protégé par la pluie. En effet, vos vêtements risqueraient de devenir lourds et humides et de vous gêner plus qu’autre chose.

2- Quel équipement pour courir sous la pluie ?

En plus de la tenue, adoptez également la casquette avec rebord. Elle protégera votre visage de la pluie et vous permettra d’y voir clair même lorsque les averses sont intenses. Ce sera plus pratique qu’une capuche qui risque de bouger, de laisser passer la pluie et de vous gêner.

3- Quelle chaussure pour courir sous la pluie ?

Au niveau des chaussures (Comment bien choisir ses chaussures de running), mieux vaut prendre une vieille paire pour courir sous pluie. En effet, la pluie va accentuer l’usure des chaussures. Mieux vaut donc épargner votre nouvelle paire.

N’oubliez pas de les sécher une fois votre séance de running terminée, histoire de leur éviter de se déformer.
Lire la suite »


16 octobre 2023

mal au ventre running course à pied

Comment ne plus avoir mal au ventre pendant une course ou un entrainement de running.

De très nombreux Jiwokeurs, nous posent la question de ce qu’il faut manger avant leur entrainement de course à pied ou avant une course.

En effet, de nombreux coureurs rapportent des problèmes du système digestif pendant l’effort et sont contraints de limiter leurs performances pour atténuer la douleur et les désagréments.

Pour apporter des solutions à ces maux de ventre, la neuropathie permet de mieux comprendre les causes du mal de ventre, des problèmes de digestion tout en améliorer la nutrition.

Le corps humain fonctionne de telle façon à gérer l’énergie qui lui est apporté : il ne peut donc pas faire plusieurs choses à la fois, comme courir, penser et digérer.

Il est alors difficile de faire un exercice intense comme la course avec l’estomac rempli car dans cette situation, l’énergie sera utilisée en priorité pour la digestion : c’est pourquoi la mise en place d’une stratégie alimentaire est primordiale.

1- Quelles sont les causes des troubles digestifs pendant l’effort ?

Tant que la digestion n’est pas terminée, il est difficile de repousser ses limites pendant l’effort car le mal de ventre peut apparaître rapidement.

Il faut attendre que le corps dispose de suffisamment d’énergie pour que les muscles soient suffisamment alimentés pendant l’exercice physique.

Bon à savoir : Lors de la course à pied, les chocs causés par les pas peuvent provoquer des micro traumatismes intestinaux.
Lire la suite »


11 octobre 2023

préparation trail course nature

Retrouvez nos plans d’entrainement trail , trail court, course nature (préparation pour débutant et confirmé)

De plus en plus de coureurs se lancent dans le trail avec l’envie de courir dans la nature et de s’échapper !

C’est pourquoi nos coachs enrichissent assez souvent nos plans d’entrainement trail ! Et je peux vous dire qu’ils ont fait cela avec amour.

Pour rappel, le trail est une épreuve de running (course à pied) qui se déroule en milieu naturel (montagne, forêt,etc…) sur un parcours utilisant des chemins ou sentiers dont la totalité des surfaces goudronnées n’excèdent pas 15% à 25% de la distance totale du parcours.

Oui le trail nature c’est beau…..C’est des entraînements et des courses en pleine nature, en montagne, en campagne, sous les arbres, au milieu de l’herbe, ca sent bon…

Mais cela peut être également en ville (urban trail) comme l’éco trail ou le city trail.

Il existe plusieurs types de trail :

Course nature : course pédestre sur une distance inférieure à 21 kilomètres, avec un parcours goudronné ne dépassant pas 25 % ;
Trail court : course pédestre sur une distance comprise entre 21 et 42 km, avec un parcours goudronné ne dépassant pas 25 % ;
Trail : course pédestre sur une distance supérieure à 42 km, avec un parcours goudronné ne dépassant pas 15 %.
Ultra-trail : course pédestre sur une distance supérieure à 80 kilomètres, avec un parcours goudronné ne dépassant pas 15 %, c’est souvent des courses de montagne.

Avant de participer à une course nature ou trail, il est important de bien se préparer et de suivre un programme d’entrainement course adapté et efficace.

En effet pour le trail running, il est important d’avoir une bonne préparation pour réussir sa course et son chrono.

Comment préparer son trail : Bien choisir sa prépa trail (entrainement trail débutant et confirmé)

Avant tout, il est essentiel de bien définir ses objectifs pour choisir le meilleur plan trail adapté à son niveau de forme et son objectif (temps de course).

Courir entre 10, 20 ou 40 kilomètres c’est une chose, être capable de parcourir cette distance en trail sur un terrain escarpé, vallonné ou accidenté en est une autre.

Il faut donc prendre en considération ses capacités physiques, savoir si l’on se situe en tant que débutant ou confirmer pour choisir au mieux son plan trail.

En effet, un trail même court représente un effort et un intensité spécifique auquel il est préférable de se préparer sérieusement.

Nos entrainements trail vous aideront à acquérir les différentes techniques de course à pied sur terrains accidentés typiques des trails (principalement en montée et en descente (dénivelé positif) et accessoirement en dévers).

Par ailleurs, nos entraînements sportifs vous permettront d’acquérir l’endurance et renforcement musculaire et cardio vasculaire nécessaire pour évoluer confortablement lors de votre course qui peut s’avérer être une épreuve longue malgré un faible kilométrage initial.

La diversité des séances des entraînements trail jiwok (comme le fractionné) vous offrira la possibilité de développer les différents paramètres physiologiques et techniques nécessaires à votre performance tout en gardant une progressivité indispensable pour éviter les blessures et la fatigue.

Lire la suite »


04 octobre 2023

courir dans le froid

Allez hop, les témoignages de la semaine des Jiwokeurs qui devraient vous donner la motivation nécessaire pour enfiler vos baskets.

Bonne lecture :

Huguette
« J’ai commencé aujourd’hui, suis enchantée du coach, c’est très motivant. On pourrait croire parfois qu’il court à coté de vous. »
(Huguette suit un programme débuter le running)

Boris
« Top défoulage ! J’adore retrouver mon elliptique avec mon coach ! Je suis complètement accros à mes 2 séances par semaine. C’est grave docteur ? 🙂 »
(Boris suit un entrainement rester en forme en elliptique)

Patou
« Je m’étais inscrite à un programme pour réussir a courir 30 minutes, sans trop y croire…. Yes i can !! J’y retourne avec ce challenge des 10km en 60 minutes, est ce bien raisonnable ? Les longueurs holala……. dur dur….. vivement demain !!! »
(Patou a suivi un entrainement courir 30 minutes et maintenant il suit un entrainement 10 km)

Laurent
« Après mon dernier semi, je voulais améliorer ma vitesse pendant quelques semaines. J’ai donc suivi votre entrainement courir plus vite, et je dois dire que cela porte ses fruits. Je cours effectivement plus vite et surtout en endurance, je suis à l’aise à une vitesse plus élevée. Les séances de fractionné ont bien été bénéfique. Je vais sûrement enchaîner avec une préparation 10 km. Encore merci. »
(Laurent a suivi un entrainement courir plus vite (améliorer sa vma))

Emmanuelle
« Je n’avais plus fait de sport depuis longtemps, et j’avais vraiment envie de m’y remettre surtout après les kilos pris après mes grossesses.
J’ai donc suivi l’entrainement perdre du poids en course à pied et j’ai apprécié.
Au départ, j’ai eu un peu de mal à m’y mettre, mais petit à petit j’ai pris le rythme et j’ai pris du plaisir.
Alors toutes les séances n’ont pas été simple, mais je me suis accrochée et j’ai réussi en fin de compte à courir 1 heure en continue et perdre 8 kilos.
Je suis assez fière de moi. Je sais maintenant que je suis capable de le faire et je vais continuer. »
(Emmanuelle a suivi un entrainement perdre de poids en courant)

Et vous, cela donne quoi votre entrainement Jiwok ?


11 septembre 2023

marathon, semi marathon, trail

DECOUVREZ NOS 5 CONSEILS POUR MIEUX GÉRER SES SÉANCES LONGUES EN RUNNING

Les sorties longues sont des sorties spécifiques (comme les séance de fractionné : voir les 10 conseils pour bien réussir ses séances de fractionné).

Il est important de les aborder en suivant quelques conseils de base.

Courir longtemps et être endurant, cela s’apprend petit à petit.

Il suffit d’appliquer les bonnes méthodes et d’éduquer progressivement son corps à fournir un effort prolongé.

Je vous proposes 5 conseils, 5 étapes, qui vous permettront de réaliser les séances longues de vos plans d’entrainement semi-marathon, 20 km, marathon, trail ou de triathlon plus facilement.

 1  Soyez précis
 2  Le running dans de bonnes conditions
 3  La durée c’est mieux que la distance
 4  Buvez et mangez
 5 Ne rien lacher

1. Planifier sa séance longue avec précision

Ne vous lancez pas dans votre séance longue à corps perdu, sans avoir déterminé au préalable votre parcours. Vous devez réfléchir avec précision aux chemins que vous allez emprunter et en compter le nombre de kilomètres, afin de savoir avec précision quelle distance vous allez parcourir.

Mais aussi, dans le but de ne pas être surpris ou entravé par d’éventuels obstacles, auxquels vous ne vous attendiez pas.

Par ailleurs, cela vous permettra de connaître à l’avance les efforts que vous allez devoir fournir.

A terme, de cette manière, vous pourrez également comparer les différences séances et comptabiliser vos progrès.

Il est d’autre part préférable de choisir un terrain bien dégagé et sans dénivelés, afin d’éviter les obstacles inutiles, et de casser le rythme de sa course.

Au départ, on privilégiera d’ailleurs des parcours sans interruption de la circulation par exemple afin de concentrer ses efforts sur l’essentiel, à savoir : le dépassement de soi.

2. Courir dans de bonnes conditions

La séance longue de running est un temps fort d’un plan d’entrainement semi marathon, marathon trail ou triathlon.

Toutefois, il ne faut pas se l’imposer coûte que coûte, si ses propres conditions physiques ne la permettent pas ou si des circonstances extérieures vous en empêchent.

En effet, elle doit être réalisée dans les meilleures conditions qu’ils soient pour représenter une réussite et vous permettre d’avancer.

Ainsi, si vous avez des douleurs musculaires, une fatigue passagère, ou si par exemple, le temps est beaucoup trop pluvieux, orageux ou chaud, vous n’êtes en rien obligé de vous l’imposer.

Vous acharner n’aura qu’un seul résultat : vous en dégoûter ou vous donner un sentiment d’échec car vous ne serez pas parvenu à la terminer.

Si toutefois, seul le climat vous empêche de réaliser cette séance longue de running, vous pouvez vous rabattre sur un autre sport d’endurance comme la pratique du vélo elliptique ou la natation, ou encore le tapis de courses dans une salle de sport.
Lire la suite »


About the author

Denis Dhekaier est le co-fondateur de Jiwok, spécialiste du coaching en running, course à pied, vélo d'appartement, vélo elliptique, tapis de course, de marche, natation. Find me on Google+

Recevez nos dernières infos et conseils
  • Catégories