25 janvier 2023

mal-dos-podologue


Vous pouvez soigner votre mal de dos avec la podologie.

Aujourd’hui, un petit article lié aux maux de dos du sportif par notre podologue.

Bonne lecture

 » En ce début d’année 2023, il est grand temps de dire stop aux douleurs de dos. Actuellement un grand nombre de personnes sont limités dans leur activité sportive ou pire dans leur activité quotidienne par les douleurs du dos siégeant le plus souvent dans le bas du dos.

Nous allons nous pencher sur les douleurs les plus fréquentes du bas du dos qui sont les douleurs lombaires ou « lombalgies communes». Le corps humain présente 5 vertèbres lombaires qui s’articulent entre elles grâce aux disques intervertébraux.

Ce disque est le point clé de nombreuses lombalgies, en effet ce disque peut être comprimé par divers facteurs (scoliose, attitude scoliotique, différence de longueur de membre inférieur…etc) il devient alors bomber et appuie contre le ligament vertébral commun postérieur entrainant une réaction inflammatoire, on parle alors de lumbago.

Si le disque se fissure et déchire le ligament commun vertébral postérieur on parle alors de hernie discale.

En cas de hernie discale on peut avoir une compression de la racine nerveuse par le disque ce qui entraine une sciatique.

Les lombalgies peuvent survenir brutalement suite à un « faux mouvement » ou « tour de rein » ou peuvent survenir de manière plus insidieuse et chronique par des microtraumatismes répétés.

Ces problèmes de dos sont extrêmement fréquents chez les jeunes adultes sportifs et peuvent survenir à tout âge.

Les contraintes répétées qu’entrainent la marche et les différents sports (notamment le running) au niveau des lombaires sont des facteurs favorisant très important à prendre en compte.
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21 décembre 2022

tendinite

Qu’est ce que la tendinite d’Achille et comment la soigner rapidement ?

Le tendon d’Achille est une structure anatomique qui peut facilement subir une inflammation et être sujet aux tendinites. Cette pathologie peut rapidement devenir fortement invalidante et en cas de rupture le chemin vers la guérison est très long.

Pour éviter que la tendinite prenne de l’ampleur il faut rapidement la traiter.

Le meilleur moyen de l’éviter est de bien s’étirer, de bien s’hydrater et d’avoir une bonne hygiène alimentaire. Néanmoins des défauts structuraux et architecturaux du pied peuvent déclencher cette pathologie.

Qu’entraine une tendinopathie d’Achille ?

La douleur débute par une sensation de brûlure qui augmente progressivement à l’effort. Il existe plusieurs types de tendinites qui entrainent des douleurs soit du corps du tendon en arrière de la cheville soit de son insertion à l’arrière du pied.

On peut également avoir une bursite en avant du tendon d’Achille ou une inflammation de la gaine du tendon (ténosynovite). Si une douleur brutale survient pendant la course il est conseillé de consulter rapidement car il peut s’agir d’une rupture partielle du tendon.

On peut retrouver en palpant le corps du tendon un nodule en forme de « noyau de cerise », ce nodule est le résultat de micro ruptures des fibres tendons avec calcifications de ces dernières.

Quelle structure anatomique souffre ?

Le tendon d’Achille est la terminaison des 3 muscles qui compose le triceps sural (gastrochnémien chef interne et chef externe, soléaire), ces muscles sont ceux qui forment le galbe du mollet. Ce sont des muscles volumineux et puissant ayant notamment pour fonction de faire de l’extension du pied (mettre sur la pointe des pieds) et de contrôler l’avancée de la jambe sur le pied pendant la marche ou la course.

Cette tendinopathie est particulièrement douloureuse car le tendon d’Achille est richement innervé.
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20 décembre 2022

courir en musique

4 effets de la musique sur votre corps

Courir en musique c’est bon pour vos séances Jiwok mais également pour votre corps.

Hé oui la musique, en plus de vous motivé pendant votre jogging, vélo, elliptique, marche, vélo d’appartement, marche nordique, trail ou natation, elle vous apporte encore plus !

La musique est aussi très bonne pour votre bien-être et votre santé.

1- La musique nous met de bonne humeur

La musique vous (re) donne le sourire, plusieurs études scientifiques le prouvent !

Une étude parue en 2013 montre que la musique rend les gens de meilleure humeur. Les participants de cette étude auraient notamment mis en avant une « excitation et régulation de leur humeur ainsi qu’une plus grande « conscience de soi ».

Une autre étude parue la même année dans le Journal of Positive Psychology va dans ce sens. Réalisée par des scientifiques de l’université du Missouri, celle-ci met en avant le même phénomène:

« Nos travaux soutiennent un comportement que beaucoup de gens ont déjà – écouter de la musique pour améliorer leur humeur », souligne l’auteur principal Yuna Ferguson.

2- La musique déstresse

Selon une expérience sur des étudiant, la musique a des effets positifs sur l’anxiété. Certains résultats démontrent une corrélation avec l’amélioration des résultats aux examens. Les étudiants sont plus détendus avant d’affronter leurs examens.

Vous pouvez télécharger l’étude au complet ici .

Par ailleurs, une thèse de doctorat démontre qu’écouter de la musique tous les jours diminue le stress. Cette thèse se base sur les résultats de deux études selon lesquelles les personnes qui écoutent de la musique ressentent des émotions positives.

« Notons toutefois que lorsqu’on étudie les réponses émotionnelles à la musique, il est important de se souvenir que tout le monde ne réagit pas de la même manière à un morceau, et que chaque individu peut répondre de façon différente à une même chanson selon le moment où il l’écoute, en fonction de facteurs individuels et situationnels », explique l’auteure de la thèse Marie Helsing.

Pour connaître les effets positifs de la musique, il faut écouter de la musique qu’on aime. »
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23 novembre 2022

Peut on boire du vin pendant son entrainement de running ?

Les sportifs peuvent-ils également être des amateurs de vin rouge ?

La question de la consommation d’alcool est souvent soulevée dans le monde du sport.

Face à de nombreuses idées reçues, il peut être facile de faire fausse route et d’abandonner ses petits plaisirs. Afin de remettre les pendules à l’heure, sachez que différents scientifiques et spécialistes se sont exprimés sur le sujet.

Concrètement, rien ne vous empêche d’être un sportif le jour et d’être un amateur de vin le soir. Vous trouverez dans cet article toutes les informations essentielles à connaître sur le sujet et il se pourrait bien vous soyez étonné.

1- Le vin ne doit en aucun cas être interdit chez le sportif

Bonne nouvelle pour tous les amateurs de bons crus, sachez que la consommation de vin n’est en aucun cas interdite si jamais vous êtes également mordu de sport.

D’après Jacques Menuet, médecin du sport et nutritionniste, il est même possible d’en consommer les jours précédant une compétition comme son 10 km, 20 km, semi, marathon, trail ou triathlon.

Même si certaines vieilles rumeurs indiquent que l’alcool et le sport ne font pas bon ménage, il n’existe aucune raison valable de vous interdire ce petit plaisir à la veille d’une compétition sportive.

Concrètement, la consommation de vin est déconseillée que pour certaines personnes, comme par exemple les femmes enceintes (qui peuvent également faire du sport) ou bien les personnes atteintes de pathologies spécifiques.

Ces personnes sont d’ailleurs généralement informées par leur médecin qu’il est préférable, voire nécessaire, d’éviter l’alcool.

Pour les sportifs, consommer du vin n’aurait pas d’effets néfastes.

En effet, il a été prouvé que les performances n’en étaient pas affectées, surtout si la personne concernée a l’habitude de boire du vin.

En plus de ne pas avoir d’effets néfastes, il semblerait même que cette boisson aurait certaines vertus qui seraient idéales pour une personne faisant travailler son corps régulièrement.
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Les effets du surentraînement sur votre corps et vos performances

Notre médecin du sport et mésothérapeuthe attaché à l’INSEP, Dr Charles Aisenberg vous a rédigé un nouvel article concernant un sujet qui touche les coureurs et tous les sportifs qui veulent en faire trop : le surentraînement.

Phénomène quasi inconnu du sportif occasionnel, le surentraînement touche le sportif professionnel mais aussi l’amateur « assidu » notamment dans les phases de préparation intensive (marathon, triathlon, trail etc.), les médecins du sport le redoutent également chez les jeunes en sport-études ou qui pratiquent une activité sportive à haute dose.

L’objectif de l’entraînement est d’induire une adaptation des tissus musculaires et du système cardio-vasculaire par une répétition de séances.

Lors de la phase de récupération, entre les séances, l’organisme va se régénérer et doit retrouver un niveau d’équilibre plus élevé qu’avant « l’agression » que constitue la séance d’entraînement.

Ainsi, grâce à un entraînement régulier et équilibré utilisant des charges progressivement croissantes et des périodes de récupération en rapport, le sportif doit progresser.

Le surentraînement est le résultat d’un entraînement mal conduit avec un déséquilibre entre les charges de travail et les périodes de récupération.

Chez le sportif amateur, il apparaît lors de la modification des habitudes d’entraînement sur plusieurs semaines voire plusieurs mois.

1- Les principaux symptômes du surentraînement sont :

– La fatigue, physique et psychologique, avec une perte du plaisir de l’effort et de la motivation à l’entraînement.
– Des troubles du sommeil soit à type de difficultés d’endormissement ou de réveils nocturnes, soit à type d’hypersomnie sont presque toujours retrouvés.
– Une baisse de l’appétit.
– Des contre performances sans diminution de l’entraînement ; souvent interprétés à tord par le sportif qui va augmenter l’intensité de son entraînement.
– Une perte d’efficacité du geste technique et un risque accru de blessures.
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08 novembre 2022

Femmes enceintes et sport

Il est possible de faire du sport pendant votre grossesse.

Vous avez un projet de bébé ou vous êtes déjà lancée dans l’aventure ?

Vous êtes sportive et avez envie de le rester pendant votre grossesse ?

Pas de panique ! Voici quelques recommandations de votre ostéopathe Jiwok pour mener votre vie de femme sportive et de (future) maman le plus sereinement possible et qui répond à vos questions.

I. Pendant la grossesse

Première bonne nouvelle : il est possible d’exercer une activité sportive pendant votre grossesse.
Deuxième bonne nouvelle : c’est même recommandé !
En effet, cela permet :

–    De garder une certaine forme physique et un bon tonus musculaire, donc de récupérer mieux et plus vite après l’accouchement ;

–    De se détendre ;

–    D’améliorer l’oxygénation de la mère, donc du bébé ;

–    De prévenir les problèmes de jambes lourdes et de circulation ;

–    De limiter la prise de poids, et d’autres complications liées à la grossesse (diabète, hypertension…).

Et autre bénéfice non négligeable : cela donnerait également des bébés bien en forme…
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28 juin 2022

fitspo mauvais pour le corps

Pourquoi Instagram c’est mauvais pour votre corps

Une étude intitulée “Mobile exercising and tweeting the pounds away“ (traduisez « faîtes du sport et tweetez depuis votre mobile pour maigrir ») a été réalisée sur le célèbre réseau social Instagram et plus particulièrement sur les adaptes du « Fitspo », cette tendance qui tend à motiver les utilisateurs à faire du sport et à adopter un mode de vie plus « sain ».

En réalité, ces publications créeraient l’effet inverse chez les personnes qui les consultent. Explications.

Ce phénomène est absolument partout
: il s’agit principalement de clichés qui affichent des corps filiformes, sportifs et bronzés, en d’autres termes, des corps (trop) parfaits selon les codes de notre société actuelle.

Ce sont des personnes qui semblent avoir fait du fitness, du yoga et du sport en général leur passion à part entière et entendent bien la partager au plus grand nombre.

Pourtant, les conséquences pourraient être négatives puisque ces initiatives seraient nocives pour le public qui les consulte.

En effet, elles provoqueraient des comportements auto destructeurs et contribueraient à la baisse de la confiance en soi tout en augmentant le mal être.

C’est que démontre l’étude qui vient d’être publiée et qui met en relation le réseau social et les effets pervers qu’il induit.
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About the author

Denis Dhekaier est le co-fondateur de Jiwok, spécialiste du coaching en running, course à pied, vélo d'appartement, vélo elliptique, tapis de course, de marche, natation. Find me on Google+

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