Pour résumer en une phrase cette étude : Faire du sport, c’est pour pour l’érection.
Les bienfaits d’une activité physique régulière sur la santé sont reconnus par tous. Son impact positif sur les capacités des hommes à obtenir (et maintenir) une érection de qualité aussi. C’est ce que prouve cette étude scientifique.
Les chercheurs se sont focalisés sur des hommes de moins de 40 ans.
Ainsi plus de 44% des sédentaires souffrent de troubles de l’érection. Alors que ce trouble n’apparaît que pour 21% des hommes qui dépensent plus de 1400 calories par semaine lors d’une activité physique.
Ces conclusions s’expliqueraient, entre autre, par l’impact positif d’une activité physique régulière sur notre système cardiovasculaire. Lire la suite »
« Jurer peut booster votre force et réduire votre douleur physique pendant votre effort. »
Pour commencer 2022, voici des nouvelles études scientifiques qui devraient vous plaire !
Les études que je vous présenterais aujourd’hui ont démontré que jurer augmente le seuil de tolérance à la douleur, ainsi que la force et les performances physiques dans leur ensemble.
Ces recherches montrent que Mark Twain (écrivain américain) était dans le vrai lorsqu’il disait cette phrase connue : « Parfois, la vulgarité permet un certain soulagement que l’on ne trouverait même pas en priant. »
Richard Stephens, professeur de l’université britannique de Keele a présenté, à la Conférence Annuelles de la Société Psychologie Britannique de 2007, dans le cadre du colloque « Evaluation de l’Efficacité et de la Faisabilité des Interventions Emotionnelles Expressives. » son dernier article : Les effets de la vulgarité sur les performances physiques et mentales.
Pour cette étude, Richard Stephens et son équipe ont mené deux expériences. Lors de la première, les participants faisaient un test de puissance anaérobique – qui consistait en de courts et intenses efforts physiques sur un vélo d’appartement – avec et sans jurons.
Lors de la seconde, les participants faisaient un test de force isométrique et, encore une fois, avec et sans jurons.
Les résultats ont démontré que les participants avaient été meilleurs lorsqu’ils avaient juré.
Les résultats de cette étude scientifique sur la gêne et les douleurs aux seins durant une course à pied, réalisée par des chercheurs d’une université américaine a révélé que la majeure partie des coureuse éprouve des douleurs aussi bien à l’entrainement que durant une course (marathon), même si elles portent des soutiens-gorge adaptés au running. Cette étude a été réalisée sur des coureuses de marathon.
Au vu de ces résultats, l’on est en droit de se demander si les soutiens-gorge pour le sport sont réellement efficaces.
Entre-temps, peut être que la solution résiderait dans un choix plus approprié de leurs soutiens-gorge par les sportives lorsqu’elles doivent courir.
Présentation de l’étude et de ses résultats
L’étude
C’est une équipe de recherche sur la santé des seins de l’université de Portsmouth aux États-Unis, dirigée par le Docteur Nicolas Brown, qui s’est intéressée aux douleurs que pouvait ressentie les femmes durant une activité physique, en réalisant une étude anonyme sur les 1300 participantes au Marathon de la ville de Londres en 2012.
Cette étude a consisté en un questionnaire qui prenait aussi bien compte l’entrainement que la compétition, ainsi qu’en la prise de captures de mouvement durant divers niveaux d’efforts et situation de course.
Sa pertinence
Certains pourraient penser que le choix de cette population d’étude est inapproprié, puisque les femmes qui la composent se caractériseraient par une petite poitrine (voire inexistante) et une mince morphologie. Ce qui est absolument faux !
En réalité, il ne faut pas se fier à la morphologie des têtes de listes pour extrapoler sur toute la population. En effet, à l’analyse des caractéristiques des femmes qui ont participé au marathon de Londres, il ressort une grande variété de morphologies, avec plus de 56 tailles de soutiens-gorge, allant du AA au HH. Quant aux tours de poitrine, elles atteignaient les 101 cm pour une masse moyenne de 67 kg.
Le choix de la course à pied comme activité physique est aussi pertinent, car courir une activité complète qui fait intervenir presque tous les muscles du corps, qui est effectuée dans la quasi-totalité des sports et qui demande des efforts physiques intenses.
Courir un marathon fait intégrer l’aspect relatif au long terme dans l’effort.
Denis Dhekaier est le co-fondateur de Jiwok, spécialiste du coaching en running, course à pied, vélo d'appartement, vélo elliptique, tapis de course, de marche, natation.
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