Que l’on soit sportif confirmé ou débutant, que l’on pratique le running, la natation ou le tennis, que l’on fasse 1h d’entraînement par semaine ou 5… les sportifs sont souvent confrontés à des douleurs cervicales.
Pourquoi ? Position inadaptée pendant la pratique sportive, mauvaise récupération, fatigue, entrainements plus intenses en vue d’un objectif… sont quelques raisons qui peuvent expliquer la survenue de ces douleurs.
N’oublions pas que le rythme de vie professionnel peut également jouer : stress, transports, mauvaise ergonomie au travail (ordinateur sur le côté, téléphone de l’autre), sac sur l’épaule toute la journée…
Y remédier est indispensable pour continuer à pratiquer son sport préféré avec plaisir et sans douleur. Lire la suite »
Voici les témoignages de la semaine, j’espère que ça aidera tous les Jiwoker à vous motiver et à continuer votre progression pour atteindre vos objectifs.
Bonne lecture.
Françoise
« Je me sens bien. Ce système progressif en ajoutant une minute à chaque fois est efficace. Je dois faire attention à ne pas courir plus vite que 70% FCM. J’éprouve du plaisir à courir !
Je ne trouve pas ça long et je ne suis pas dans l’attente que cela se termine. Aucune douleur ressentie. Pas de lassitude.
Le tout c’est de s’y mettre ! La première répétition est la plus difficile. Après, en petite vitesse de croisière, c’est chouette. »
(Françoise suit un programme perte de poids en running)
Guillaume
« Merci beaucoup Denis ! Mon entrainement 2h00 au semi a très bien marché, j’ai fait 1h59 🙂 (J’ai couru avec 3 amis sur un parcours, on s’est fait notre propre course). Je vais maintenant enchainé avec un programme de récupération)
(Guillaume a suivi un entrainement semi-marathon objectif 2 heure)
Louise
« Super, facile, j’en ai même enchaîné une 2ème derrière histoire de pas rester sur ma faim. »
(Louise suit un programme débuter la course à pied)
Christophe
« Au niveau 11 super ! Le pire c’est qu’on en redemande ! Pressé d’être à la suivante, vraiment génial ! »
(Christophe suit un programme perdre 5 kilos en running)
Nathalie
« C’est super ! J’adore mon tapis de course grâce à Jiwok.
Chaque séance, mon coach est toujours là pour me donner un conseil ou me motiver. J’ai hâte à chaque fois de me lancer dans une nouvelle séance. »
(Nathalie suit un programme tapis roulant pour rester en forme)
Céline
« C’est bien la première fois depuis des années que je réussis à courir 30 minutes d’affilé sans frôler la crise cardiaque. J’adore ce programme et j’espère bien maintenir le cap pour atteindre l’objectif des 10 km. Merci Jiwok »
(Céline suit un plan 10 km pour débutant)
Eviter les points de coté : Courir sans point de côté
Compagnon indésirable et inattendu des sportifs, le point de côté gâche souvent le plaisir, vous ralentit et annihile les efforts accomplis. Qu’est-ce qui le déclenche ? Comment l’éviter ? Comment s’en débarrasser quand il survient en plein milieu d’une séance de running?
1
Point faible des sportifs
2
Qu’est-ce qui déclenche un point de côté ?
3
Comment éviter les points de côté ?
4
Comment l’évacuer ?
1- Point faible des sportifs
Tous les sportifs ont déjà été confrontés au point de côté au cours de l’exercice physique. Qu’ils pratiquent la course à pied, le cyclisme ou la natation, ils doivent souvent faire face à ce mal imprévu.
Sans gravité dans la plupart des cas, la douleur ressentie met cependant un sérieux coup de frein à l’effort surtout au niveau de la course à pied. Les points de côté se ressentent au niveau des clavicules, des côtes, des intestins ou de l’estomac.
Si le coureur n’arrive pas à l’éviter, ou du moins à l’évacuer rapidement, le point de côté peut devenir un véritable cauchemar et constituer son point faible.
2- Qu’est-ce qui déclenche un point de côté ?
Les études menées jusqu’à présent n’arrivent pas à déterminer les causes exactes de l’apparition des points de côté. Cependant, la perturbation de la mécanique respiratoire du diaphragme due à l’engorgement par le sang du foie ou de la rate, ferait apparaître la douleur au niveau des clavicules ou des côtes.
La sollicitation trop intense du diaphragme lors du jogging provoquerait également le point de côté. Si la douleur est ressentie au niveau des intestins, ce serait lié à un manque de sang au niveau du tube digestif consécutivement à l’effort. Il peut également survenir au niveau de l’estomac qui dans ce cas n’aurait pas encore fini de digérer, ce qui provoque le point de côté.
Par ailleurs, certaines pistes ont révélé l’existence d’un lien étroit entre le manque d’entrainement d’une part et une alimentation inadéquate d’autre part pour expliquer l’apparition des points de côté.
Une séance de running sans échauffement préalable ou à une vitesse trop excessive dès le départ provoquerait à coup sûr un point de côté. De même, une alimentation riche en lipides et en fibres favoriserait l’apparition de cette douleur.
L’asthme et le sport : symptômes et conseils à suivre
Vous voulez vous mettre à courir, pédaler, à bouger, etc…, bref vous mettre à faire du sport, mais vous faites partie des 3,5 millions d’asthmatiques français.
Le pouvez-vous?
Oui, et cet article est là pour vous éclairer sur la question et vous aider à trouver une solution.
J’ai eu l’idée de cet article suite au témoignage d’un Jiwoker (Dominique) :
« Moi qui croyait que courir était impossible en étant asthmatique, j’ai suivi vos conseils et je viens de finir l’entrainement en 24 séances pour finir par courir 30min sans m’arrêter et j’aime ça ! C’est devenu indispensable pour me sentir bien et je n’ai plus de crises d’asthmes! merci JIWOK! »
Nous verrons donc en premier lieu comment se manifeste l’asthme, puis les dispositions à prendre pour pouvoir pratiquer un sport malgré cette gêne.
En effet, selon que vous pratiquiez la course à pied de manière régulière, ou que vous décidiez de courir un jogging de temps en temps, les conséquences ne sont pas les mêmes.
L’asthme, lors de la pratique de sports (notamment des sports extrêmement physiques comme le tennis) peut occasionner un gêne.
Ces efforts demandent une grande respiration, ce qui peut provoquer sifflements dans la poitrine, toux, ou gêne respiratoire pour les malades. Lire la suite »
Et c’est reparti pour les témoignages ! Merci également pour les gentils messages à propos de la newsletter !
Voici donc les témoignages de la semaine ! Bonne lecture !
Aurélia
« J’adore les newsletters jiwok !
Je suis le programme perte de poids en 12 semaines sur elliptique.
Avec les témoignages, on a vraiment l’impression de faire partie d’une équipe même si les entraînements et buts de chacun sont différents. Ca motive !
Et puis les petites infos sont rapides à lire et toujours super intéressantes.
Top ce morceau à ajouter à notre playlist. »
(Aurélia suit un programme maigrir en elliptique)
Sophie
« Presque 8 kilos de perdu ! Et surtout je me sens beaucoup mieux dans mon corps. Honnêtement j’ai retrouvé le moral et motivé pour la suite. Refaire du sport est réellement bon pour mon corps et ma tête. Une envie énorme ! Ca motive !Je m’alimente beaucoup mieux. Je ne peux plus me passer de mon coach Jiwok »
(Sophie suit un programme perte de poids en running)
Clarisse
« 4ème séance : CHECK ! Plutôt satisfaite. Vraiment motivée. J’essaie d’accélérer petit à petit, pas évident, mais je tiens le coup A bientôt pour la suite »
(Clarisse suit un programme tapis de course)
Ghislaine
» Super séance facile!!! je sens que je pourrai augmenter la vitesse de croisiére, mais bon respectons les bons conseils du coach, bonne journée et bon courage à tous. »
(Ghislaine suit un programme débuter en running)
Encore de la bonne musique pour vos playlist de sport
Ca faisait longtemps que je n’avais pas partagé avec vous un bon vieux titre qui tourne sur mes playlists pour faire courir ou faire du fitness .
Aujourd’hui, c’est un morceau plein de joie, de bonheur : Heaven Must Be Missing An Angel Lire la suite »
Tout savoir sur la périostite tibiale et comment la soigner
Comme chaque année de janvier à mai, on retrouve cette période charnière où les professionnelles en médecine sportive sont confrontées aux nombreuses blessures de course à pied.
Les premières courses majeures approchant à grand pas nos runners (sauf cette année) intensifient leurs entrainements et c’est là que les premiers pépins physiques arrivent.
Après avoir parlé des tendinopathies d’Achille et du syndrome de l’essuie-glace, nous allons nous pencher sur les fameuses périostites tibiales, cette pathologie qui fait frémir plus d’un sportif lorsqu’il sent que son tibia commence à chauffer.
Contrairement aux croyances populaires du milieu sportif, une périostite n’est pas une fracture de fatigue ou une fissuration contrainte de l’os bien que cela puisse le devenir si la périostite n’est pas traitée.
1) Symptomatologie
C’est une douleur vive pouvant être très invalidante pendant la pratique sportive et qui se situe en regard du tiers inférieur de la face antéro-interne du tibia.
Elle apparaît de manière progressive au début pendant l’effort sportif et l’apparition sera de plus en plus rapide au cours de la course, si le sportif persiste dans son entrainement, la douleur deviendra constante et sera handicapante même pour la marche.
A la palpation, la douleur est forte et peut entraîner des réactions vives du patient, en glissant la main le long du tibia on peut ressentir dans certains cas des houppes liées à la calcification du périoste.
Alors qu’est-ce qu’une périostite? L’os est recouvert d’une pellicule de tissu conjonctif riche en vaisseaux sanguins et en terminaisons nerveuse appelé donc périoste, la périostite est une inflammation de ce tissu.
La cause de cette inflammation est un excès de traction sur le périoste sur lequel s’insèrent des muscles, des tendons et des ligaments par de solides points d’ancrages. Lire la suite »